La Maison des Épines
Ne réveillez pas ce qui dort sous la Maison des Épines…
Novembre 1900. Mime au cœur brisé, Sonho assiste à la fin du légendaire cirque Beaumont, qui ferme ses portes après des décennies à sillonner les routes d’Europe. Le cirque représentait tout pour lui – sa maison, sa famille, ses rêves. Sa mission, aussi, confiée à la troupe par sa fondatrice : le père de cette dernière avait prophétisé la venue d’un orphelin qui changerait le monde, un enfant que Sonho espérait plus que tout retrouver.
Résigné, perdu, le mime abandonne tout derrière lui. Il suit alors sa sœur Augusta, qui souhaite ouvrir un orphelinat afin de mettre les enfants du cirque à l’abri. Et quoi de mieux que la demeure dont elle a hérité de ses ancêtres pour y installer tout ce petit monde ? Situé au cœur d’une forêt non loin de Londres, le domaine de Blackthorn Hill ressemble à un paradis.
Mais comme dans toutes les vieilles bâtisses, l’on y croise des ombres et des rumeurs, des mystères insondables, des vérités qu’il ne faut surtout pas exhumer. Que cache la Maison des Épines ? Quels secrets renferme-t-elle, ainsi protégée par son armée de prunelliers ? Qu’y a-t-il derrière cette porte fermée à clef dans le sous-sol ?
Entre rêves, poésie et malédictions, découvrez la légende de Blackthorn Hill…
– mort
– sang
– blessure
– longue maladie
– suicide
- Illustration de couverture : Rozenn Illiano & Xavier Collette
« C’est beau, sombre, poétique, triste et le roman agrippe le lecteur avec ses épines acérées pour ne plus le lâcher. » – Au Pays des cave trolls
« La Maison des Épines propose une tragédie sublime, une histoire captivante de mystères, de malédiction et de responsabilités familiales, une intrigue entre présent et passé parfaitement construite, pendant – in-dé-pen-dant ! – d’Érèbe. » – L’Ourse Bibliophile
« Les descriptions sont tout simplement somptueuses. Le lecteur est transporté dans l’univers, il vit l’action aux côtés des personnages. Ces derniers sont riches, divers, complexes, comme dans tous les romans de Rozenn Illiano. » – Elerinna Wolf